arrivée à Huaraz au départ de Lima
bus de jour 35 sols/pers pour 7h30 de voyage avec une grande pose repas. Pluie au col à 3600m avant Huaraz. Heureusement les jours suivants pas de pluie.
Il faut un temps d'adaptation à l'altitude. Nous avions déjà une expérience au Chili avec un transfert direct d'Arica 0 m (l'océan Pacifique) à 3 900m sur Putre. Trois premiers jours pas faciles.
Ne rien faire n'est pas la solution. D'autant que Huaraz c'est farci de touristes. Bruyant, ça grouille. Ce n'est qu'"à" 3 000 m. Donc une randonnée dite d'acclimatation pour la laguna Wilacocha nous a semblé une bonne mise en jambes.
Huaraz est posé dans le "callejon de Huaylas", vallée entre la superbe Cordillera Blanca avec ses sommets enneigés et la Cordillera Negra, plus sombre et d'origine volcanique.
La Cordillera blanca est la plus haute chaine de montagnes après l'Himalaya. 22 sommets sont à plus de 6000 m d'altitude.
Cette petite lagune de Wilacocha est nichée dans la Cordillère Noire. Le départ de la randonnée est à 10 km au Sud de Huaraz. Nous
avons pris un colectivo.
Prendre le combi n° 10 sur l’avenue Confraternidad Internacional Oeste en direction de Lima. Demander à se faire déposer au Puente Santa Cruz. Le trajet dure environ 20 min et coûte 1sole. Autant dire presque rien !.
Un local Quechua descend avec nous et fait la conversation. Ça calme de suite. Marcher et parler, ça essouffle. Il a la bonne idée de nous faire prendre un raccourci, évitant la piste plus longue. Pfffff, cuit très rapidement. D'autant que nous l'apprendrons ensuite, il faut aspirer par le nez, expirer par la bouche. On évite l'hyper ventilation.
Huaraz en bas
Le départ est à 3000 m d’altitude, alors que la laguna Wilcacocha est
situé à environ 3700 m. On marche sur environ 5 km avec un
dénivelé de 700 m…
On traverse des petits villages, des locaux sont en activités.
La culture des papas, les pommes de terre, domine.
l'école. Ce sont les congés d'été, personne.
La Cordillère Noire
villages avec des murs en adobe. Nous sommes naïfs, c'est la première
fois. Commun ensuite partout au Pérou hors grosses agglomérations.
. Il n'y a pas beaucoup de chemins possibles, difficile de se tromper. De nombreux randonneurs.
un repère le long de l'itinéraire
Bon ce n'est pas la plus belle lagune qui soit. Premier contact avec l'altitude au Pérou, on s'en contente.
En face la Cordillère Blanche et ses sommets à plus de 6 000m.
Quant au ciel bleu il faut venir pour leur hiver. C'est l'été, la saison où il pleut le plus. Nous assumons.
Après quelques instants de plénitude, un petit repas et beaucoup d'eau à boire, la descente nettement plus facile. Arrivés à la route les colectivos ne sont pas en peine jusqu'à 16h parait-il de passer et de vous repérer pour une prise en charge. Il y a moins de monde que le matin.
bus de jour 35 sols/pers pour 7h30 de voyage avec une grande pose repas. Pluie au col à 3600m avant Huaraz. Heureusement les jours suivants pas de pluie.
Il faut un temps d'adaptation à l'altitude. Nous avions déjà une expérience au Chili avec un transfert direct d'Arica 0 m (l'océan Pacifique) à 3 900m sur Putre. Trois premiers jours pas faciles.
Ne rien faire n'est pas la solution. D'autant que Huaraz c'est farci de touristes. Bruyant, ça grouille. Ce n'est qu'"à" 3 000 m. Donc une randonnée dite d'acclimatation pour la laguna Wilacocha nous a semblé une bonne mise en jambes.
Huaraz est posé dans le "callejon de Huaylas", vallée entre la superbe Cordillera Blanca avec ses sommets enneigés et la Cordillera Negra, plus sombre et d'origine volcanique.
La Cordillera blanca est la plus haute chaine de montagnes après l'Himalaya. 22 sommets sont à plus de 6000 m d'altitude.
Prendre le combi n° 10 sur l’avenue Confraternidad Internacional Oeste en direction de Lima. Demander à se faire déposer au Puente Santa Cruz. Le trajet dure environ 20 min et coûte 1sole. Autant dire presque rien !.
Un local Quechua descend avec nous et fait la conversation. Ça calme de suite. Marcher et parler, ça essouffle. Il a la bonne idée de nous faire prendre un raccourci, évitant la piste plus longue. Pfffff, cuit très rapidement. D'autant que nous l'apprendrons ensuite, il faut aspirer par le nez, expirer par la bouche. On évite l'hyper ventilation.
Huaraz en bas
On traverse des petits villages, des locaux sont en activités.
La Cordillère Noire
un repère le long de l'itinéraire
Bon ce n'est pas la plus belle lagune qui soit. Premier contact avec l'altitude au Pérou, on s'en contente.
Après quelques instants de plénitude, un petit repas et beaucoup d'eau à boire, la descente nettement plus facile. Arrivés à la route les colectivos ne sont pas en peine jusqu'à 16h parait-il de passer et de vous repérer pour une prise en charge. Il y a moins de monde que le matin.
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