Nous savions la route de Celendin à Leymebamba exceptionnelle. Un passage par la montagne par des dénivelés vertigineux. La faire de nuit à la fois c'était dur physiquement ( 12h dans le bus) mais c'était manquer de voir ces paysages. Leymebamba comme point de chute pourquoi pas. Un village non sans usine à touristes, cela nous convient parfaitement.
La première interrogation fut la compagnie. Une ou plusieurs ? Il y a le choix, cela permet de caler son horaire.
Départ 9h30. Le mini bus se remplit. Hors de question de penser bus de ligne confortable. La route ne leur permet pas de passer.
Route dans la vallée de Célendin puis on monte progressivement. La montagne est belle, mais les nuages gagnent. On sent l'étage alpin, l'altitude avec de vertes pelouses.
Les nuages sont bien présents. Plus de visibilité ?
Les lacets se succèdent le long d’une falaise abrupte
Descente vers le fleuve Marañon:
Pause juste après le passage du pojnt. La police demande les papiers des locaux. Dernières emplettes pour un encas.
Très vite ça remonte. On entre dans le dur. Des parois de 1 000m. La route rétrécit. Un jeun,e devant vomit à n'en plus finir. De l'ambiance avec les locaux. Ca papote et ça rigole beaucoup.
Qu'en serait-il s'il pleuvait...
Pause repas sur un petit restaurant au bord de route. La vue demeure impressionnante.
On reprend.
Puis arrêt forcé. Travaux sur la route. Via cerrada. Il est 12h00. Le route ouvrira à 16h00. Les personnes du bus ne se démontent pas. Ca parlemente. Les deux jeunes filles en charge de la barrière ont la pression. Des tentatives de passages en force.
Et ça repart malgré l'interdiction.On a perdu 2h00...
Juste après le passage du col à 3 600 m un accident tout frais. Deux voitures sont tombées dans le ravin. Le chauffeur s'arrête. On prend des photos pour le periodico comme ils disent.
Et arrivée à Leymebamba: ciel bas mais il ne pleut plus.
Stop sur la place d'armes. Nous savions qu'un hôtel sympa était possible: le Petaca. Juste à côte du bus. Tout s'enchaîne à merveille.
Leymebamba est bien un village paisible. Nous sommes les uniques touristes.
L'église sur la place en face de l'hôtel:
les ruelles
Et dans ce village on y trouve tout notre nécessaire. Superbe malgré la pluie qui semble vouloir s’installer sur tout le pays.
La première interrogation fut la compagnie. Une ou plusieurs ? Il y a le choix, cela permet de caler son horaire.
Départ 9h30. Le mini bus se remplit. Hors de question de penser bus de ligne confortable. La route ne leur permet pas de passer.
Route dans la vallée de Célendin puis on monte progressivement. La montagne est belle, mais les nuages gagnent. On sent l'étage alpin, l'altitude avec de vertes pelouses.
Les nuages sont bien présents. Plus de visibilité ?
Descente vers le fleuve Marañon:
Très vite ça remonte. On entre dans le dur. Des parois de 1 000m. La route rétrécit. Un jeun,e devant vomit à n'en plus finir. De l'ambiance avec les locaux. Ca papote et ça rigole beaucoup.
Stop sur la place d'armes. Nous savions qu'un hôtel sympa était possible: le Petaca. Juste à côte du bus. Tout s'enchaîne à merveille.
L'église sur la place en face de l'hôtel:
les ruelles
Et dans ce village on y trouve tout notre nécessaire. Superbe malgré la pluie qui semble vouloir s’installer sur tout le pays.
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